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La dernière session du Comité national de l’environnement des affaires du 23 juin a réuni du beau monde. Cette rencontre s’est tenue dans un contexte économique délicat toujours en raison de la pandémie du Covid-19. Une raison supplémentaire pour accélérer certains chantiers.
Les priorités du patronat
Afin de préserver les entreprises, agir sur les délais de paiement semble une priorité. «Le temps est à l’action et à l’urgence. Si nous n’accélérons pas le déploiement de certains chantiers, nos entreprises, notamment les TPE et PME, encore plus affaiblies aujourd’hui par la crise, risquent carrément de mettre la clé sous la porte», alerte Chakib Alj, président de la CGEM.
Le patronat s’attend également à une réforme du Code du travail et son adaptation aux réalités du marché, l’intégration du secteur informel qui permettrait in fine de réduire la pression fiscale, la mise en avant des entreprises marocaines pour la commande publique et la facilitation de l’accès des TPE et PME à ces marchés.
Par ailleurs, la confédération se félicite de l’accord trouvé pour l’amélioration des délais de paiement dans le cadre de l’Observatoire des délais de paiement. En effet, les membres de l’Observatoire ont convenu de mettre en œuvre rapidement des mesures concrètes visant à les améliorer. Le dispositif proposé consiste en des sanctions pécuniaires à l’encontre des entreprises présentant des délais au-delà des limites réglementaires. Le produit de ces amendes sera dédié à l’appui des entreprises. Les opérateurs, surtout les TPE et PME, qui souffrent le plus de la dégradation des délais de paiement, attendent impatiemment ces mesures. Rappelons que dans le secteur public, le délai moyen continue de baisser. Cependant, les situations sont variées d’un établissement à un autre avec en moyenne 193 jours pour le dernier de la classe en l’occurrence la Société nationale de réalisation et de gestion des stades et 2 jours pour le meilleur élève, l’Agence urbaine d’Al Hoceima.
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