Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Durant le week-end, l’ordre du jour du conseil de gouvernement de ce lundi a été largement modifié, rapportent plusieurs médias. L’idée d’une suspension de certaines dépenses publiques a semé la panique dans le milieu des affaires au point de pousser le ministre des Finances à se rétracter. N’étaient pas concernées par ces coupes budgétaires, les dépenses de santé, celles liées à la gestion de la pandémie Covid-19, les dépenses de sécurité, les dépenses d’investissement et de fonctionnement à caractère urgent…
Préserver le PIB
La commande publique représente plus de 25% du PIB estime Ecoactu. Ajourner les dépenses publiques aurait accentué l’effet de la crise. La croissance ne devant pas dépasser 2% selon les prévisions les plus optimistes. Des milliers d’entreprises dépendent exclusivement des marchés publics. C’est une grande fragilité et l’arrêt, même temporaire d’une partie de la commande publique, aurait contribué à accentuer leurs difficultés. Par ailleurs, en raison de l’urgence sanitaire, l’on assiste à la dématérialisation accélérée de certaines procédures pour ne pas pénaliser les adjudicataires des marchés publics notamment en termes de délais de paiement.
Le deuxième sujet phare du conseil n’a, lui, pas changé. Il s’agit du déplafonnement des emprunts extérieurs. Le Trésor était autorisé à mobiliser jusqu’à 31 milliards de DH à l’étranger. Le déplafonnement va permettre d’augmenter les capacités de levées de fonds à l’extérieur. En regardant le coût du dernier emprunt à l’international (1,5%), cela peut s’avérer une bonne chose. Sachant que les agences de notation ont toutes confirmé la notation du Maroc là où elles ont dégradé celles d’autres pays.
Temps de lecture : 2 minutes
Les patronats mauritanien et marocain veulent booster les échanges entre les deux paysL’Union nationale du patronat mauritanien (UNPM) et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) ont organisé conjointement la … |
EMEC EXPO 2024 : les ambitions de la 4ᵉ édition expliquées par Nadia BoulalLeBrief : Pourquoi cette édition de l’EMEC EXPO se distingue-t-elle des précédentes en termes de contenu ? Nadia Boulal : En termes de conte… |
Six années consécutives de sécheresse, un problème «structurel» pour le RoyaumeLe Maroc est entré, désormais, dans une situation de stress hydrique structurel. C’est le constat, pour le moins alarmant, établi par le pré… |
Les Impériales 2024 : la culture marocaine à l’honneurÀ travers des débats animés, des échanges enrichissants et des interventions de spécialistes de renommée nationale et internationale, les Im… |
Expansion économique : le Maroc en avant-scène de la dynamique africaineLe Royaume a judicieusement ciblé une multitude de domaines dans le continent, tels que la banque, les télécommunications, les phosphates, l… |
Transformation digitale : les clés de la réussite selon Mounir Bouchiha (Gear9)LeBrief : Dans le cadre des Impériales 2024, votre agence a animé un atelier sur la Customer experience (CX) et le Conversion rate optimisat… |
Marché du recrutement : état des lieuxLes dynamiques professionnelles évoluent rapidement. Il est donc essentiel de comprendre les tendances, les défis et les opportunités qui fa… |
La dynamique des investissements s’accélèreLes projets approuvés hier par la Commission nationale des investissements (CNI) totalisent une enveloppe de 36,4 milliards de DH (MMDH). La… |