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Amis automobilistes et motocyclistes, c’est le moment idéal pour faire le plein de carburant. Les répercussions de la chute du baril de pétrole sur le marché international viennent de se faire ressentir, ce lundi, sur le royaume chérifien. Les prix à la pompe ont connu une énorme baisse. Elle varie entre 0.80 DH et 1 DH le litre pour le gasoil, et 1,20 DH le litre pour l’essence sans plomb, rapporte le site Medias24. Le litre du diesel est affiché entre7,94 DHchez Winxo et 8,19 DHchez Petrom à Casablanca. Il était entre 8,92 DH et 8,97DH jusqu’au 15 mars. Quant aux prix de l’essence, ils varient entre 9,36 DHchez Winxo et 9,42 DH chez Total, contre 10,36 DH et 10,50 DH durant les 15 premiers jours du mois de mars.Ces baisses représentent une réduction de prix moyen de 50 dirhams sur un plein de cinquante litres de carburant.
La raison principale de cette baisse reste l’effondrement des cours du pétrole. Ces derniers ont vécu la plus forte chute depuis la guerre du Golfe de 1991, après que l’Arabie saoudite ait lancé une guerre sur les prix du brut, sur fond de désaccord avec la Russie. Par ailleurs, l’épidémie de coronavirus, qui touche le monde actuellement, a considérablement bloqué la production pétrolière.
Misesà l’enquête sur deux pétroliers
Au Maroc, plusieurs voix s’étaient levées contre la fixation des prix à la pompe et des marges de bénéfice par certains pétroliers. La fédération des propriétaires et gérants de stations-service a déclaré, dans un communiqué, avoir saisi le Conseil de la concurrence contre deux sociétés de distribution pétrolière (OLA Energy Maroc et Winxo) qui auraient cherché par différents moyens à se dédouaner de leurs responsabilités dans la fixation des prix de vente à la pompe, rapporte le quotidien arabophone Al Ahdath Al Maghribia.
La même source affirme que la fédération s’est dite «étonnée de voir que ces entreprises aient pris cette décision unilatérale sans avoir pris la peine de se concerter avec les professionnelsdu secteur». Ce scandale qui intervient quelques mois seulement avant le rapport annueldu Conseil de la Concurrence sur le marché deshydrocarbures liquides au Maroc risque de faire couler beaucoup d’encre dans les semaines à venir.
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