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La rencontre pré-élections entre le chef du gouvernement, Saad Dine El Otmani, et les leaders des partis politiques, fait la une de la presse arabophone de ce vendredi 6 mars 2020. La date limite des consultations et des préparatifs aux prochaines élections est fixée à fin juillet 2020, révèle le quotidien arabophone Akhbar Alyaoum. La même source indique que les amendements des partis politiques concernant le mode de scrutin, les listes électorales et le seuil de représentativité n’ont pas été évoqués durant cette réunion.
Restaurer la confiance
Nizar Baraka, secrétaire général de l’Istiqlal (PI), Nabil Benabdellah (PPS), Abdellatif Ouahbi (PAM) et Nabila Mounib (FGD) se sont tous accordés sur le fait de faire de cette campagne une occasion de restaurer la confiance dans l’action politique et les institutions élues. Il est question de renforcer le taux de participation électorale, qui était à peine de 43% durant les dernières élections législatives de 2016. Selon Al Akhbar, le parti de l’Istiqlal a appelé à une concertation commune entre les partis politiques en vue de la révision des lois électorales. Baraka a suggéré un réexamen du cadre juridique des élections,à commencer par le mode de scrutin, le découpage électoral, le seuil d’éligibilité, la représentation des femmes et des jeunes, la participation de la communauté marocaine à l’étranger et la date des élections et de la campagne électorale.
L’Intérieur ne veut rien lâcher !
Le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, a refusé la constitution d’une commission chargée de superviser les prochaines élections de 2021. Cette proposition avait été recommandée par les leaders de certains partis politiques. Selon le quotidien Assabah, le ministère de l’Intérieur s’attache à l’organisation des élections et juge que son département dispose de toute la compétence nécessaire pour organiser les élections conformément aux lois en vigueur. Le département de Laftit affirme également que le Maroc est un pays stable et qu’il n’y a donc aucune raison pour que l’on réclame la constitution d’une commission indépendante.
On apprend également que les partis politiques demandent à Laftit de revoir la stratégie d’octroi des subventions. Les dirigeants de ces partis ont appelé à une distribution équitable de la subvention relative aux élections. Ces derniers estiment que la distribution des subventions selon les suffrages et les sièges obtenus aux élections favorise les premiers partis politiques et leur permet de financerleurs campagnes électorales dans de meilleures conditions.
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