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Le taux de chômage a baissé de 0,3 point en 2019 à 9,2%. Mais cette baisse s’accompagne de celle du taux d’activité. En d’autres termes, la réalité peut être bien plus préoccupante que ne le disent les chiffres.
Des pratiques très diverses
À fin 2019, plus de 1,1 million de personnes étaient à la recherche d’un job. Dans leur recherche, 2 chômeurs sur 3 misent sur leurs proches (31,4%) ou un contact direct avec les employeurs (33,5%). La participation aux concours et les réponses aux annonces ont été déclarées comme modes de recherche d’emploi par seulement 18,2% des chômeurs. En revanche, le recours aux institutions d’intermédiation comme Rekrute.com, Anapec… ne représente que 5%.
Selon le niveau de qualification, l’utilisation des canaux diffère. Les diplômés se reposent très peu sur leur entourage pour rechercher un emploi. Ce canal représente seulement 10% dans les sources de recherche alors qu’il pèse 50% chez les personnes n’ayant aucun diplôme et 44% chez ceux ayant un diplôme moyen. De même, ces deux dernières catégories sont aussi plus enclines à adresser une demande directement aux employeurs que les diplômés. Ces derniers choisissent en premier lieu de passer des concours pour obtenir un emploi. Ce canal compte pour 28% dans leur recherche. Cela peut laisser supposer que beaucoup parient sur un travail dans la fonction publique. Mais, en tout seulement 20% des diplômés au chômage ont une préférence pour le secteur public.
Internet prend de l’ampleur
Pour les chercheurs d’emploi, internet est un canal qui prend de l’importance surtout chez les diplômés. Plus de 14% de leurs recherches sont initiées via Internet. Google notamment facilite la recherche d’emploi sur sa plateforme. Des mots clés comme « emploi » par exemple renvoient vers des encadrés spécifiques consacrés aux offres d’emploi. Il est possible d’affiner la recherche pour obtenir les offres selon l’endroit souhaité. Les réseaux sociaux sont aussi devenus des plateformes de plus en plus prisées pour la recherche d’emploi. LinkedIn par exemple se démarque pour l’instant, mais des géants de la Tech comme Facebook se sont positionnés sur ce créneau. Plus on a un réseau large, plus on multiplie les chances de se faire embaucher.
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