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Les Marocains ont gagné 29 ans d’Espérance de vie en un demi-siècle

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L’espérance de vie à la naissance est maintenant supérieure à 75 ans. En un peu plus d’un demi-siècle, il s’est amélioré de 29 ans selon le HCP. Généralement, cet indicateur est plus élevé chez les femmes que les hommes. Au Maroc, l’écart est de 3,3 ans en faveur des femmes. Dans la région Mena, les Libanais (79,7 ans), les Qataris (78,3 ans) et les Émiratis (77,4 ans) vivent le plus longtemps. Dans le bas du classement, on retrouve le Yémen (65 ans) l’Irak (70 ans) et la Syrie (70,9 ans).

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Au Maroc, l’espérance de vie à la naissance est supérieure à 75 ans.En un peu plus d’un demi-siècle, elle s’est améliorée de 29 ans. Les progrès de la médecine, l’amélioration de la qualité de vie sont parmi les nombreuses raisons qui expliquent l’amélioration de l’espérance de vie. Généralement, cet indicateur est plus élevé chez les femmes que les hommes. L’une des raisons peut être le fait que les femmes sont de façon générale plus active que les hommes.

L’espérance de vie est de 77,3 ans pour les femmes et de 74 ans pour les hommes. En trente ans, l’écart s’est encore augmenté de 1,3 an. La pratique d’une activité physique régulière et une alimentation saine sont des facteurs qui aident à rester en bonne santé et à améliorer la longévité.

En revanche, le tabac, l’alcool, la sédentarité ou encore le stress nuisent à la longévité. Dans la région Mena (données 2017), les Libanais (79,7 ans), les Qataris (78,3 ans) et les Émiratis (77,4 ans) vivent le plus longtemps. En cette année, l’espérance de vie au Maroc était de 76 ans. Dans le bas du classement, on retrouve le Yémen (65 ans) l’Irak (70 ans) et la Syrie (70,9 ans).

Un taux de fécondité proche de celui des pays développés

De 7 enfants par femme en 1960, la fécondité est retombée à 2,38 enfants. Les contextes ont bien changé. Il y a un demi-siècle, le contexte socioculturel marocain était favorable à une forte fécondité. Les femmes se mariaient à des âges précoces (à 17 ans en moyenne) et la proportion de celles qui utilisaient les moyens contraceptifs ne dépassait guère les 8 %. Aujourd’hui, les choses ont changé et la situation économique pousse aussi les gens à bien réfléchir. Un enfant c’est beaucoup de bonheur, mais aussi énormément de charges sur une longue période. D’où l’importance de bien planifier pour pouvoir offrir la meilleure éducation possible à sa progéniture.

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