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Ce jeudi, Pr Neil Gemmell, chercheur néo-zélandais parti à la poursuite de « Nessie », a présenté les résultats d’une étude menée par une équipe internationale de chercheurs venant des universités d’Otago, de Canberra, de Copenhague, de Californie, de Higlands and Islands, de Hull et du Laboratoire d’écologie alpinede Grenoble.
Les chercheurs ont tenté de répertorier toutes les espèces vivantes du lac en extrayant leurs ADN de plusieurs échantillons d’eau.
« L’étude de l’ADN environnemental permet de mieux comprendre comment fonctionne un écosystème comme celui d’un lac », explique Pierre Taberlet, fondateur du Laboratoire d’écologie alpine (Leca) à Grenoble.
Après de nombreuses analyses, les scientifiques ont découvert la présence d’environ 3 000 espèces dans les eaux profondes du loch écossais. Ils ont exclu la présence de gros animaux qui seraient à l’origine des récits d’un monstre.
La plupart des créatures étaient très petites et, bien qu’elles aient détecté l’ADN de porcs, de cerfs, d’épinoches et d’humains, il n’y avait pas de monstres. Le professeur Neil Gemmell, qui a dirigé l’étude, a déclaré qu’il ne pouvait pas exclure une théorie selon laquelle les anguilles dans le loch auraient atteint une trsè grande taille.
« Les anguilles sont très abondantes dans le loch Ness, et de l’ADN d’anguille a été retrouvé dans presque tous les endroitsétudiés », a-t-il conclu.
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