Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le porte-parole du gouvernement Ali Rabiei a également indiqué que le président Hassan Rouhani pourrait s’entretenir avec son homologue américain Donald Trump si cela servirait les intérêts de l’Iran, tout en rappelant que dans les circonstances actuelles il est déconseillé de négocier avec un « agitateur ».
Rouhani a échangé une série d’appels téléphoniques avec le président français Emmanuel Macron ces dernières semaines dans le but de sauver l’accord nucléaire historique de 2015 entre l’Iran et les puissances mondiales.
Le dirigeant français a essayé de convaincre les États-Unis d’offrir à l’Iran un allègement des sanctions imposées à la République islamique depuis le retrait américain de l’accord en mai 2018.
Les arches-ennemies étaient sur le point de s’affronter en juin lorsque l’Iran a abattu un drone américain et que Trump a ordonné des frappes de représailles contre l’Iran avant de les annuler à la dernière minute.
La situation s’est quelque peu calmée depuis, Macron exprimant son espoir lors du sommet du G7 d’organiser une rencontre entre Rouhani et Trump.
Rouhani a écarté la possibilité d’une réunion, affirmant que les Américains devaient d’abord lever toutes les sanctions contre l’Iran.
Mais le porte-parole de son gouvernement a laissé entendre ce lundi qu’une telle réunion pourrait encore avoir lieu si elle allait de pair avec les intérêts de l’Iran.
Selon l’agence de presse iranienneIRNA, « il n’y a aucune raison pour que le président rencontre un agitateur et un terroriste économique en cette période de crise ».
L’Iran a riposté avec des contre-mesures en réponse au retrait américain de l’accord nucléaire, qui lui a permis d’échapper aux sanctions en échange de la réduction de son programme nucléaire.
Elle a menacé, vendredi dernier, de prendre une troisième mesure pour réduire ses engagements vis-à-vis de l’accord, après avoir déjà augmenté ses activités d’enrichissement et de stockage d’uranium.
Temps de lecture : 2 minutes
Gaza au premier jour de la trêveAprès sept semaines de guerre, les Palestiniens de Gaza bombardée accueillent avec des sentiments mitigés la première trêve conclue par le H… |
Guerre au Proche-Orient : la trêve qui traîneL’accord de trêve conclu mercredi entre Israël et le Hamas prévoyant la libération de 50 otages retenus dans la bande de Gaza en échange de … |
Gaza pourra respirer un peuAprès des jours de négociations intenses, Israël et le Hamas sont parvenus à un accord. Le gouvernement israélien a approuvé, tôt ce mercred… |
Israël-Hamas : bientôt le rameau d’olivier ?Au 45ᵉ jour de la guerre qui oppose l’État hébreu au mouvement palestinien, l’armée israélienne continue à «étendre ses opérations dans de n… |
Banque mondiale : potentiel de croissance et besoin de réformes au MarocSelon le dernier rapport de la Banque mondiale (BM), le premier semestre de 2023 a été caractérisé par un regain de croissance économique, a… |
Dix semaines de guerre au Proche-OrientAlors que la communauté internationale continue à appeler Israël à «minimiser le nombre de civils morts», le bilan ne cesse de s’alourdir : … |
Gaza : l’hôpital Al-Shifa au cœur de la guerre11.320 Palestiniens ont été tués dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza depuis le début de la guerre. Parmi les morts recens… |
A Gaza, les civils se cachent pour mourirDepuis le début du conflit, 11.240 personnes ont été tuées dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza, a affirmé lundi le minist… |