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Un groupe du parti d’opposition algérien et un autre de la société civile ont exigé samedi que les autorités tiennent des élections dans les six mois à venir, alors que le pays se rapproche progressivement du vide constitutionnel, surtout que le mandat du président intérimaire prend fin le 9 juillet.
Réunis dans le cadre du Forum national pour le dialogue, les participants auraient appelé à des élections « libres et pluralistes » supervisées par un organe indépendant.
Depuis mars dernier, l’Algérie a été le théâtre de manifestations en faveur de la démocratie, suite auxquelles l’ancien dirigeant Abdelaziz Bouteflika a dû renoncer à un cinquième mandat et à se retirer de ses fonctions en avril dernier.
Les protestations ont continué à réclamer le renversement du régime militaire. Le 4 juillet, les élections annoncées par le président par intérim, Abdelkader Bensalah, ont été boycottées et annulées.
Le mercredi dernier, Bensalah dont le mandat prend fin le 9 juillet, a appelé à un dialogue national dans le but de fixer une date pour les élections afin que le pays membre de l’OPEP ne sombre pas dans l’instabilité.
Il a proposé un «vrai» dialogue avec les algériens, loin de l’armée et de l’État.
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