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La presse arabophone du 22 décembre 2022

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Catégorie Société , La presse arabophone
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Akhannouch poursuit un politicien français en justice | Mohamedi : on se battra pour gagner la CAN | Un parlementaire condamné à 6 ans de prison ferme | Contrôleurs aériens : fin de la crise après des entretiens « marathoniens » | Services consulaires : Bourita parie sur la digitalisation | Anesthésie et réanimations : les infirmiers réclament « une audace juridique »

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Assabah : Akhannouch poursuit un politicien français en justice. Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a déposé mardi une plainte auprès de la justice française à l’encontre de l’ex-député européen José Bové. Akhannouch accuse Bové de diffamation après que ce dernier ait accusé, au micro de France Inter, le responsable marocain d’avoir tenté de le corrompre dans les années 2010. Bové avait dit qu’Akhannouch, alors ministre de l’Agriculture, «ne supportait pas» son opposition à l’accord de libre-échange UE-Maroc sur les fruits et légumes et qu’il lui avait proposé de lui amener «un cadeau à Montpelier, dans un café discret».

 

Al Ahdath Al Maghribia : Mohamedi : on se battra pour gagner la CAN. Le quotidien clôture sa couverture de l’épopée marocaine en Coupe du Monde par un dossier spécial de 10 pages, au sein duquel il interviewe le gardien de la sélection nationale et du club saoudien Al-Wehda Munir Mohamedi. Ce dernier cite la «transformation de la sélection en une famille unie sous la direction de Oualid Regragui» et le soutien des supporters marocains à la tête des facteurs qui lui ont permis de s’illustrer lors de ce Mondial. Il promet aussi que les joueurs n’ont qu’un objectif en tête pour la prochaine CAN : celui de soulever le trophée.

 

Al Akhbar : Un parlementaire condamné à 6 ans de prison ferme. La chambre criminelle de première instance chargée des crimes financiers près la Cour d’appel de Fès a rendu ses verdicts dans le dossier du parlementaire Rachid El Fayek, poursuivi aux côtés de 6 autres personnes, dont son frère, pour corruption, dilapidation de deniers publics, falsification de documents officiels et abus de pouvoir, entre autres chef d’accusations. Le député, poursuivi en état de détention à la prison de Bourkaiz (Fès), a été condamné à 6 ans de prison ferme et à une amende de 1 million de dirhams.

 

Al Massae : Contrôleurs aériens : fin de la crise après des entretiens «marathoniens». La grève ouverte des contrôleurs aériens, qui devait commencer vendredi, n’aura finalement pas lieu. Un accord a été trouvé aux termes de négociations qualifiées de «marathoniennes» (de mardi à 17H00 jusqu’à mercredi à 09H00) entre ces derniers et le ministre de l’Inclusion Economique, Younes Sekkouri, en présence de la DG de l’ONDA. Selon le SG du bureau syndical des contrôleurs aériens (CDT), l’accord couvre tous les points de divergences dont la préparation prochaine d’un projet de loi sur le métier.

 

Bayane Al Yaoum : Services consulaires : Bourita parie sur la digitalisation. Le ministre des Affaires Etrangères, Nasser Bourita, a assuré, mardi à la Chambre des Conseillers, que son département œuvre pour la digitalisation des différents services consulaires pour alléger l’affluence sur les consulats. Cet aspect couvre la prise des rendez-vous à distance mais aussi l’acquittement des droits de timbre pour passeports à travers la plateforme électronique « e-Timbre ». Le Maroc a aussi acquis de nouveaux bâtiments à l’étranger qui abriteront ses missions diplomatiques et a rénové 9 consulats, a rajouté Bourita.

 

Assahraa Al Maghribia : Anesthésie et réanimations : les infirmiers réclament «une audace juridique». Le Maroc compte environ 850 médecins spécialisés en Anesthésie et Réanimation. Face à ce faible nombre qui ne couvre pas toutes les opérations chirurgicales effectuées quotidiennement, les infirmiers spécialisés dans cette disciplines, au nombre de 2300, se retrouvent parfois forcés d’intervenir. Le président de l’Association marocaine des infirmiers anesthésistes-réanimateurs réclame plus d’«audace juridique» qui permette l’intervention, à travers des textes réglementaires, de ces infirmiers dans les situations d’urgence.

 

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