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Les titres de la presse arabophone (hebdos) ce samedi 20 février

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Catégorie Société , La presse arabophone
hebdos arabophones

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La Mauritanie s’apprête à retirer sa reconnaissance au polisario | Un voisin algérien «jaloux» | Combien nous coûte le parlement ? | Houcine Ammouta : «Ce sacre est collectif et c’est le football marocain qui en sort gagnant» | Qui arrêtera l’exploitation des femmes dans les fermes agricoles ? | Les laboratoires font la pluie et le beau temps au Maroc

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Al Ayam : La Mauritanie s’apprête à retirer sa reconnaissance au polisario. Le président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani devrait incessamment annoncer une décision majeure dans le conflit du Sahara marocain. Selon les médias locaux, un retrait de la reconnaissance au polisario est actuellement sur la table et tout penche vers une concrétisation de cette décision. Le président mauritanien, proche de la position marocaine, entend se ranger du côté de l’ONU qui ne reconnaît pas cette république chimérique. Le retrait de la reconnaissance devrait se faire après la visite «historique» que compte effectuer prochainement le Roi Mohammed VI à Nouakchott.



 



Al Watan Al An : Un voisin algérien «jaloux». L’hebdomadaire est revenu sur l’émission «satirique» de la chaîne TV algérienne Echourouk où le Roi Mohammed VI a été moqué par des «marionnettes pathétiques qui ne font même pas rire». Cet incident révèle que les généraux algériens ont usé toutes leurs cartouches et commencent à vouloir taper sous la ceinture. Heureusement que le peuple algérien n’est pas dupe. Plusieurs citoyens et intellectuels algériens ont pris la défense du Roi du Maroc et du peuple marocain, s’excusant de cette dérive médiatique grotesque.



 




Al Anbaa Al Maghribiya : Combien nous coûte le parlement ? La dernière polémique sur le projet de loi relatif à la liquidation du régime de retraite et l’avidité et l’irresponsabilité de la Chambre des conseillers soulève beaucoup de questions. Combien nous coûtent tous ces parlementaires et justifient-ils vraiment leurs salaires et avantages ? L’hebdomadaire a fait le calcul. En 36 ans, entre 1963 et 2011, le budget destiné au parlement a représenté la coquette somme de 8,77 milliards de dirhams. Cependant, entre 2012 et 2021, soit en 9 années seulement, le parlement coûtera au contribuable près de 6,8 milliards de dirhams, soit presque ce qui a été dépensé en 36 ans. Ce budget ne cesse d’augmenter ces dernières années, une rente politique très bénéfique pour les parlementaires face à des résultats toujours critiqués par les Marocains, regrette l’hebdomadaire.



 



Al Mounatakhab : Houcine Ammouta : «Ce sacre est collectif et c’est le football marocain qui en sort gagnant». Al Mountakhab est parti à la rencontre de Houcine Ammouta, entraîneur de l’équipe nationale des joueurs locaux. Dans un long entretien, l’entraîneur est revenu sur le sacre africain lors du Championnat d’Afrique des nations (CHAN), remporté pour la deuxième fois consécutive. Ammouta, né en 1969 à Khémisset, s’est confié sur les coulisses de cette participation historique et les moments forts en compagnie de ses joueurs.



 




Al Ousboue Assahafi : Qui arrêtera l’exploitation des femmes dans les fermes agricoles ? Un véritable calvaire. Les femmes qui travaillent dans les fermes agricoles près de Sidi Kacem et Moulay Bousselham souffrent depuis des années et personne ne bouge le petit doigt pour les défendre. Elles ne disposent pas de couverture sociale, de contrat de travail, de congés, d’indemnités pour les heures de travail supplémentaires et sont payées une misère. Pire, beaucoup d’entre-elles subissent un harcèlement moral et sexuel. Pourquoi le ministère du Travail et l’Inspection du travail ne se sont jamais intéressés à cette frange de la population qui vit dans la misère, la précarité et la «hogra», se demande l’hebdomadaire.



 



Al Michaal : Les laboratoires font la pluie et le beau temps au Maroc. C’est une bombe que vient de lâcher le Conseil de la concurrence. Il vient de publier un rapport accablant sur le marché des médicaments au Maroc. Un marché où les règles de la concurrence saine ne sont pas respectées, et où 17 laboratoires font la pluie et le beau temps en monopolisant le marché. Des conflits d’intérêts et des ententes sur les prix sont monnaie courante. Et c’est le citoyen qui en paie le prix, et au prix fort puisque les laboratoires fixent des prix beaucoup plus élevés que ce qu’il se fait sous d’autres cieux, sans prise en compte du faible pouvoir d’achat du Marocain.


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