Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Les exportations ont baissé de 17% sur les sept premiers mois de l’année pour s’établir à 140 milliards de DH. La pandémie du coronavirus et la crise économique qu’elle a engendrée n’épargnent aucun secteur exportateur. Les ventes du secteur automobile à l’étranger ont chuté de 29%. Elles ont décroché de 29,5% pour le textile et le cuir, et 21,2% pour l’aéronautique. En revanche, les secteurs de l’agriculture, de l’agroalimentaire et celui des phosphates parviennent à tirer leur épingle du jeu avec des baisses modérées. Les exportations de produits agricoles et agroalimentaires ont reculé de 4,7% à 36,5 milliards de DH, alors que les expéditions de l’OCP ont enregistré une baisse de 4,2% à 29 milliards de DH. La conjoncture exceptionnelle place lessecteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire au rang de premier exportateur à fin juillet devant l’automobile et les phosphates.
Quelques branches qui s’en sortent mieux
Si la plupart des activités exportatrices ont vu leur chiffre d’affaires baisser, lourdement pour certaines, quelques branches ne connaissent pas la crise. C’est le cas notamment de la branche fils, câbles et autres conducteurs pour l’électricité, dont les exportations ont augmenté de 57% à 2 milliards de DH. Idem pour l’industrie du plastique et du caoutchouc dont le chiffre d’affaires à l’export a progressé de 15% à 1 milliard de DH sur les sept premiers mois de l’année.
Les services également à la peine
Du côté des services, les exportations ont décroché de 26% à 77 milliards de DH en raison principalement de la chute de 44% des recettes voyages. Les importations de services ont baissé dans les mêmes proportions à 41 milliards de DH. L’excédent de la balance des services a diminué de 28% après sept mois à 35,6 milliards de DH.
Temps de lecture : 2 minutes
EMEC EXPO 2024 : les ambitions de la 4ᵉ édition expliquées par Nadia BoulalLeBrief : Pourquoi cette édition de l’EMEC EXPO se distingue-t-elle des précédentes en termes de contenu ? Nadia Boulal : En termes de conte… |
Six années consécutives de sécheresse, un problème «structurel» pour le RoyaumeLe Maroc est entré, désormais, dans une situation de stress hydrique structurel. C’est le constat, pour le moins alarmant, établi par le pré… |