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«Fièvre électorale : Les PJDistes gouvernants se réunissent avec les Istiqlaliens opposants», titre Al Massae dans son édition du 12 mars 2020. Le journal nous informe que Abdelali Hamieddine, dirigeant du PJD, n’éloigne pas la probabilité de former prochainement une coalition avec l’Istiqlal. Hamieddine a déclaré que l’Istiqlal aurait pu faire partie de la majorité gouvernementale, si ce n’est «quelques déclarations infondées» de l’ancien secrétaire général du parti, Hamid Chabat. «PJD et Istiqlal, les retrouvailles après la séparation», titre, pour sa part, le quotidien Al Ahdath Al Maghribia. Les deux partis s’étaient déjà réunis pour les élections législatives de 2011. La coalition était composée du Mouvement Populaire (MP) et du parti du Progrès et du Socialisme (PPS).
Dans le communiqué de presse publié à l’issue de la rencontre, les deux parties ont souligné que cette réunion a permisd’échanger des points de vue sur les développements de la situation politique au Maroc et les défis auxquels doivent faire face les acteurs partisans pour assumer leur mission d’encadrement. Le PJD et l’Istiqlal insistent sur la volonté de retrouver la confiance des citoyens, rapporte le journal arabophone Akhbar Alyaoum. Les deux partis estiment ainsi qu’il y a des questions d’ordre général en lien avec la situation politique globale au Maroc qui méritent d’être discutées.
De son côté, le dirigeant istiqlalien, Abdeljabar Rachdi, n’écarte pas que son parti aille à la rencontre d’autres formations politiques pour aborder les problématiques que connaît le pays avant l’échéance électorale de 2021. «Ce chantier doit être lancé en parallèle avec celui du nouveau modèle de développement», estime Rachdi. Et de préciser : «Il faut renouveler les élites et renforcer la démocratie afin de pouvoir accompagner ce nouveau modèle».
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