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Le premier jour de la campagne officielle pour la présidentielle en Tunisie a connu des affrontements meurtriers entre jihadistes et militaires.Le bilan des victimes est de4 morts, dont 3 jihadistes.
« Les trois combattants éliminés n’ont pas encore été identifiés», a indiqué l’AFP, sans préciser leur nationalité ou le groupe auquel ils sont soupçonnés d’appartenir.
Un adjudant-chef de 28 ans, chef de poste à Haïdra, dans le gouvernorat de Kasserine a également péri lors des violences de ce lundi matin.
« Les terroristes sont toujours là, mais la Tunisie est plus forte», a commenté lors d’un meeting le Premier ministre Youssef Chahed, un des principaux candidats à la présidence. La Tunisie a été confrontée après sa révolution en 2011 à un essor de la mouvance jihadiste, responsable de la mort de plusieurs dizaines de soldats et de policiers, mais aussi de civils et de touristes étrangers.
Même si la situation sécuritaire s’est nettement améliorée, le pays reste sous un état d’urgence renouveléet prolongéjusqu’au 31 décembre 2019, depuis l’attentat suicide perpétré à Tunis contre la sécurité présidentielle (12 agents tués) en novembre 2015.
Les massifs montagneux frontaliers de la région de Kasserine restent un repaire pour les groupes jihadistes, dont Jund al-Khilafa (« Les soldats du califat »), affilié à l’organisation de l’État islamique (EI), et Al-Qaïda. Des opérations de ratissage sont régulièrement menées par les forces de l’ordre dans ces zones.
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