Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Elizabeth Warren et Bernie Sanders ont défendu sans détour leur politique progressiste lors du débat présidentiel démocrate de mardi, alors que leurs rivaux plus modérés ont qualifié leurs propositions d’irréalistes et de politiquement inconcevables.
Le débat opposait les deux sénateurs américains et les huit autres candidats au sujet de la politique de santé et d’immigration mettant en évidence les divisions entre les deux camps.
Lors de la première nuit de débats consécutifs, les démocrates se sont unis pour souligner l’urgence de renverser le président républicain Donald Trump lors des élections de novembre 2020. Mais ils ont critiqué avec véhémence les positions de leurs rivaux, car les désaccords politiques ont dominé l’événement qui a duré presque trois heures.
Le différend entre les partis modérés et libéraux du Parti démocrate a mis en lumière la question centrale de la course à l’investiture : quel candidat serait le mieux placé pour battre Trump l’année prochaine ?
Les démocrates, dirigés parfois par le gouverneur du Montana Steve Bullock, ont soutenu qu’ils risquaient de perdre des électeurs à cause de leur position très gauchiste lors du débat d’ouverture le mois dernier à Miami.
Par contre, les progressistes ont plaidé que leurs politiques stimuleraient les électeurs et leur permettraient de se détourner de Trump.
Warren a réprimandé l’ancien représentant américain John Delaney, qui a souvent joué le rôle de défenseur des progressistes pendant le débat, ripostant à ses critiques à l’égard de ses politiques.
Sanders a également soulevé des arguments selon lesquels ses propositions ne pouvaient pas être réalisées de façon réaliste, en déclarant : « J’en ai un peu marre des démocrates qui ont peur des grandes idées. Les républicains n’ont pas peur des grandes idées».
Trump s’est empressé de peindre l’ensemble du champ démocratique comme des socialistes, cherchant à rendre tout candidat éventuel peu recommandable pour les électeurs en affirmant qu’ils veulent augmenter les impôts, ouvrir les frontières américaines et retirer les soins privés.
Temps de lecture : 3 minutes
Conseil de gouvernement : priorité à la santé et à la protection socialeLe jeudi 25 avril, le Conseil de gouvernement, sous la présidence d'Aziz Akhannouch, s'est réuni pour examiner plusieurs projets de textes l… |
Mosquée Al-Aqsa : le Maroc dénonce vigoureusement l’incursion par les extrémistes et leurs partisansLe Royaume du Maroc, sous la conduite du roi Mohammed VI, assume la présidence du Comité Al Qods au sein de l'Organisation de la coopération… |
Maroc-Espagne : collaboration fructueuse et interdépendance soulignées par le ministre AlbaresLors d'une récente session au Congrès des députés, le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l'Union Européenne et de la Coopération,… |
Bilan de mi-mandat : tous les signaux sont au vert pour Aziz AkhannouchAziz Akhannouch est passé devant les deux chambres du parlement pour la traditionnelle présentation du bilan de mi-mandat du chef du gouvern… |
Rabat : Nasser Bourita reçoit l’envoyé du président du Conseil présidentiel libyenNasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, a rencontré mardi à Ra… |
Sahara : la Sierra Leone soutient l’intégrité territoriale du MarocMardi à Rabat, la Sierra Leone a officiellement affirmé son soutien à l'intégrité territoriale du Maroc, qualifiant l'Initiative marocaine d… |
Abdellatif Hammouchi en tournée régionale à Doha pour renforcer la coopération sécuritaireAbdellatif Hammouchi, directeur général de la sûreté nationale et de la surveillance du territoire, a entamé une visite de travail à Doha, Q… |
Chambre des représentants: élection des présidents des commissions permanentesConformément à l’article 62 de la constitution et aux dispositions de l’article 89 du règlement intérieur de la Chambre, le président de la … |