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Vahid Halilhodzic n’est plus le sélectionneur du Maroc. C’est ce qu’a annoncé, ce jeudi 11 août, la Fédération royale marocaine de football (FRMF), via un communiqué. L’aventure du Franco-bosniaque avec les Lions de l’Atlas s’est donc achevée par un divorce à l’amiable à trois mois de la Coupe du Monde, Qatar 2022. L’éviction du "coach Vahid" à un an du terme de son contrat s’explique par un manque de communication avec son groupe et avec les responsables, mais surtout par sa brouille avec Hakim Ziyech. Une brouille qui a poussé Lekjaa à intervenir et à trancher en faveur de l’ancien Ajacide. La grande question qui se pose désormais est : qui sera le nouvel entraineur de la sélection marocaine ? Côté économique, la croissance du Maroc devrait s’établir à 1% en 2022 avant d’atteindre 4% en 2023. C'est ce qui ressort du rapport annuel sur la stabilité financière, publié par Bank Al-Maghrib (BAM), l’Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS) et l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC). Cette étude révèle que la concentration du secteur des assurances s’est maintenue à son niveau moyen durant l’exercice 2021. Les cotisations collectées par les régimes de retraite ont pour leur part atteint 54,2 milliards de DH (MMDH) l'année dernière, soit une hausse de 9,6% par rapport à 2020. Pour les prestations, elles ont enregistré une progression de 4,0% pour atteindre 59,8 MMDH. Quant aux réserves constituées par ces régimes, elles se sont élevées à 330,8 MMDH, affichant une amélioration de 0,9% par rapport à 2020. La sécheresse historique qui frappe plusieurs régions du monde continue d’affecter le marché international des céréales. Aux États-Unis, les autorités ont observé une forte dégradation de la qualité des cultures et une réduction préoccupante du nombre de champs de maïs, classés «bons à excellents». L’Europe n’est pas en reste. Le Vieux continent fait cette année face à son pire épisode de sécheresse, enregistré depuis 1958. Malgré la reprise des exportations de maïs, de graines de tournesol et blé par l’Ukraine, l’offre mondiale reste très limitée. Au Maroc, et malgré une production céréalière infime, le pays assure ses arrières en termes d’approvisionnement. Mais ses importations céréalières risquent d’augmenter à 10,4 millions de tonnes entre 2022 et 2023.
À demain ! N'oubliez pas de consulter notre vidéo récap de la journée.
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