| Bonsoir, Le Maroc renforce sa résilience face aux catastrophes naturelles et à la rareté hydrique. Grâce au Fonds de lutte contre les effets des catastrophes naturelles (FLCN) et au Fonds de développement énergétique (FDE), le Royaume investit dans la prévention, la réhabilitation et la transition énergétique. Des projets de dépollution industrielle, de sécurisation de l’eau potable et de modernisation des infrastructures visent à protéger les populations et l’environnement.  Dans un autre volet, l'État a mobilisé 450 hectares de foncier public pour soutenir 33 projets touristiques en 2024, représentant 16 milliards de dirhams d’investissements et 3.170 emplois à terme. Les infrastructures hôtelières, balnéaires et de loisirs concentrent l’essentiel des projets. Mais Dakhla et Casablanca absorbent la majorité des terrains, révélant un déséquilibre territorial. La question se pose : cette mobilisation massive du domaine public contribue-t-elle vraiment à un développement touristique et régional équilibré ? Au niveau mondial, les cols blancs commencent à trembler. Les premières vagues de licenciements liées à l'IA semblent pointer le bout de leur nez. Cette révolution technologique pourra-t-elle être mise au profit de tous, comme les précédentes, ou bien sonnera-t-elle la fin du contrat social entre progrès et justice ? Nouveau sur Le Brief : le sondage de la semaine ! Votez dès maintenant. Bonne soirée, à demain ! Retrouvez nos chroniques LeBrief sur Le Battement et suivez-nous sur notre chaine WhatsApp pour rester informé en temps réel. |