Algérie : autopsie du crash de Belmadi

Un commentaire

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   A chaque fois que je regardais l’une des vidéos de D. Manar Slilmi, je me disais qu’il a, globalement, raison mais qu’il exagère un peu quand il traite le Taboristan(1) d’asile psychiatrique à ciel ouvert.

   Aujourd’hui 24/01/24, en regardant les réactions hyper-hystériques des algériens et des algériennes sur les vidéos des réseaux sociaux, après la fameuse défaite du Taboristan face à la merveilleuse équipe de la Mauritanie Chenguittie (2), je me suis rendu compte que le diagnostic de M. Slimi est tout à fait juste et plausible surtout quand il appelle l’ONU à l’organisation d’une cure collective de psychothérapie au bénéfice de la population algérienne.
   Une population réduite à la perdition à cause de la folie et la stupidité de ses dirigeants nommés par Marianne.fr en 1962 et qui n’ont jamais réussi, un tant soit peu, à faire de cette population un vrai peuple.

   M. Slimi pousse le bouchon encore plus loin en demandant à l’ONU d’indemniser la Mauritanie Tingitane Mère(2) ; le Maroc, pour les désagréments qu’il a subit depuis que la marguerite du bois-de-Boulogne, dite Marianne.fr, a décidé d’accorder une fausse autonomie à l’ex-Régence d’Alger en 1962.
   Moi, j’ajoute que cette indemnisation doit prendre en compte tous les désagréments et toutes les injustices subies par l’Empire Chérifien depuis que Marianne.fr a acheté et occupé l’ex-Régence d’Alger en 1832 et jusqu’à nos jours.

   (1) : Tabor en arabe = File d’attente, queue, colonne, etc. Taboristan est donc le pays des tabors, de files d’attentes, de queues et de colonnes interminables constituées par des êtres malheureux pendant des heures dans l’espoir d’obtenir un demi-kilo de lentilles ou un demi-litre de lait d’origine douteuse.

   (2) La Mauritanie Chenguittie et la Mauritanie Tingitane Mère sont unies et complémentaires. Elles ont le même passé et auront toujours le même destin et crèvent de jalousie les sans Histoire et les Sans-culottes.

   Une curiosité intrigante :
   A chaque fois que je veux écrire le nom de baptême que Marianne adonné à son avorton, je suis frappé d’une une dyslexie scripturale et ne peux l’écrire qu’en anglais (algeria). Mais quand je veux lire ce nom, une autre dyslexie, orale celle-ci, m’oblige de ne le lire, sauf votre respect, qu’en espagnol.

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