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En dépit de la baisse exceptionnelle des réserves d’eau, le Maroc arrive, tant bien que mal, à satisfaire ses besoins en eau potable. C’est en tout cas ce qu’assurait le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, lors de son passage à la Chambre des représentants.
Il a relevé que 2021 était la 4? année la plus chaude enregistrée depuis 1981. Depuis le début de l’année en cours, le volume d’eau des barrages a atteint les 424 millions de m3. Il s’agit d’un déficit pluviométrique de 47% par rapport à la moyenne annuelle et d’un excédent de 74% par rapport à 2021. En effet, les précipitations modérées enregistrées au début de 2022 ont permis d’alimenter certains barrages.
S’agissant des précipitations, le bassin hydraulique du Loukkos a connu une baisse de 47% par rapport à la moyenne. Il dispose du taux annuel de ressources en eau le plus élevé au Maroc. C’est le cas aussi pour le Bassin du Sebou. Vient ensuite le bassin hydraulique de la Moulouya avec une baisse de 54%. Ce dernier est suivi par Bouregreg, Oum Er-Rbia, Tensift, Souss-Massa, Guir-Ziz-Rheris, Draâ-Oued Noun et Sakia El Hamra-Oued Eddahab.
L info du jour :
• Selon l’ONU, le Maroc est en stress hydrique : 500 m3 d’eau douce par habitant et par an, loin derrière le seuil minima de 1000 m3. Les choses se compliqueront davantage en 2025 pic.twitter.com/cWDOEtLUjK— Omar Alaoui (@oalaoui) November 4, 2021
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