| Bonsoir, Rabat revendique une politique migratoire souveraine, mais Migrapress révèle la domination des ONG internationales dans les programmes financés par l’UE. Les acteurs marocains restent cantonnés à des rôles secondaires malgré leur expertise locale. Pour que le « modèle marocain » devienne réellement autonome, il faudra renforcer la participation nationale, assurer un financement durable et centrer les politiques sur les besoins humains. Sur le plan économique, dans un contexte d’inflation mondiale et de tensions géopolitiques, le système bancaire marocain agit comme un véritable pare-chocs macroéconomique. Stabilité du dirham, liquidité assurée et prêts garantis aux entreprises : autant d’atouts qui renforcent la résilience du pays. L’industrie, soutenue par ces bases financières, profite de cette stabilité pour se développer et exporter efficacement. Et dans la vie quotidienne, c’est le pain qui alerte. Son prix pourrait bientôt augmenter, une perspective qui inquiète profondément les Marocains, pour qui cet aliment reste une institution. Le secteur est en crise : hausse des coûts, concurrence informelle et marges en chute menacent les boulangeries structurées. Les professionnels lancent un appel au gouvernement pour régulariser le marché et garantir au peuple du pain accessible et abordable. Bon weekend et à lundi ! Retrouvez nos chroniques LeBrief sur Le Battement et suivez-nous sur notre chaine WhatsApp pour rester informé en temps réel. |