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Le Maroc devrait connaître une croissance de 0,8% cette année et 3,1% en 2023, selon les projections du Fonds monétaire international (FMI) publiées mardi dans sa dernière mise à jour des perspectives de l’économie mondiale.
Le produit intérieur brut (PIB) du Royaume devrait rebondir à 3,4% en 2027, anticipe le FMI dans ce rapport, publié en marge de ses assemblées annuelles à Washington avec la Banque mondiale.
S’agissant du taux de chômage, il devrait atteindre 11,1% cette année avant de baisser légèrement à 10,7% en 2023. Selon la même source, l’inflation devrait grimper à 6,2% en 2022 pour ensuite chuter à 4,1% l’année prochaine. Aussi, le FMI anticipe que le solde du compte courant du Royaume va s’établir à -4,3% en 2022 puis à -4,1% l’année suivante.
Pour la région du Moyen-Orient et l’Asie centrale, la croissance devrait atteindre 5% cette année. Elle reflète ainsi des perspectives favorables pour les pays exportateurs de pétrole dans la région et un impact modéré de la guerre en Ukraine sur le Caucase et l’Asie centrale, indique le rapport de l’institution de Bretton Woods.
En 2023, la croissance devrait reculer à 3,6% en raison de la baisse des prix du pétrole et des conséquences du ralentissement de l’économie mondiale et de la guerre en Ukraine, ajoute le rapport.
Par ailleurs, le FMI et la Banque mondiale ont mis en garde, ce lundi à Washington, contre le risque élevé d’une récession mondiale sur fond de ralentissement de l’activité économique et des effets combinés de la hausse de l’inflation et des conséquences de la guerre en Ukraine.
Et de relever le ralentissement des trois grandes puissances économiques mondiales. Tout d’abord dans la zone euro, à cause de l’explosion des prix du gaz, en Chine, en raison des perturbations causées par la pandémie et l’instabilité du secteur immobilier, et enfin aux États-Unis, qui, en dépit d’un marché du travail très dynamique, voient ses activités économiques s’essouffler à cause de la hausse des taux d’intérêt.
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