Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
Temps de lecture : 3 minutes
En cette période de Ramadan, les citoyens marocains redoublent de créativité pour, tous les jours, proposer à leur famille un jus différent de la veille. Un jour rose, un autre vert, en fonction du fruit qui le compose, il ne saurait se faire un ftour sans cette boisson revitalisante.
Pourtant, malgré les recommandations abondantes sur l’importance de consommer des fruits et légumes, ventant les bienfaits des vitamines, fibres, minéraux et antioxydants, tous ne sont pas bons à prendre. Certains contiennent un nombre trop important de pesticides.
Comment savoir si nos choix sont contaminés ?
A chaque cueillette, demeurent des résidus de pesticides dans les fruits et légumes consommés au Maroc ou destinés à l’export. Pour preuve, de nombreuses cargaisons en direction de l’Union européenne sont retournées au pays.
Utilisés pour le traitement des sols et sur le feuillage des plantes, les pesticides sont nécessaires. Mais seulement dans une certaine mesure. C’est le surplus de cette matière qui rend l’aliment impropre à la consommation.
Lire aussi : Fraises : aucun ralentissement des exportations n’est à prévoir
A titre d’exemple, en mai 2023, une cargaison de concombres a été analysée comme comportant trop d’Oxamyl par les autorités portugaises. En juillet 2023, l’Espagne a aussi tiré la sonnette d’alarme pour la présence d’un pesticide non autorisé dans les pastèques marocaines. Il s’agissait du méthomyl, dépassant le seuil autorisé par les autorités européennes.
A défaut de pouvoir agir au niveau des plantations, les citoyens peuvent ouvrir un œil, et le bon, pour surveiller leurs achats.
En termes de fruits, les pesticides sont plus présents dans les cerises, le pamplemousse, les nectarines, le raison, les clémentines et les oranges. Avec un peu moins de risques, viennent juste après les bananes, les abricots, les fraises et les citrons.
Comment éviter les pesticides ?
Pour limiter les risques, le mieux étant de laver ses fruits et légumes à l’eau courante pendant au moins 30 secondes, et de frotter avec une goutte de bicarbonate ou de vinaigre. Il est aussi préférable d’ôter la peau pour les poivrons, aubergines, pêches et tomates.
Temps de lecture : 3 minutes
RH Awards : les meilleurs DRH choisis par les établissements d’enseignement supérieurLes établissements d'enseignement supérieur joueront un rôle essentiel dans la sélection des lauréats des RH Awards, qui se tiendront simult… |
Alerte météo et routière : fortes averses et vents violents prévus ce samediLa Direction générale de la météorologie (DGM) a émis un bulletin d'alerte orange prévoyant des conditions météorologiques extrêmes pour ce … |
Journée nationale du consommateur : une 11e édition axée sur l’économie de l’eauOrganisée par le ministère de l’Industrie et du Commerce en partenariat avec le ministère de l’Équipement et de l’Eau, ainsi que les fédérat… |
Aid al-Adha : le gouvernement veut doubler le nombre d’ovins importésLe gouvernement œuvre à doubler le nombre d'ovins destinés à l'abattage à l'occasion de Aïd al-Adha par rapport à l'année dernière, a fait s… |
Berkane : arrestation pour piratage informatique et détournement d’appels téléphoniquesÀ Berkane, la police a arrêté mardi deux hommes, dont un citoyen libanais, pour leur implication présumée dans des infractions de piratage i… |
Crise des enseignants : appel à la grève le 22 avrilLe secteur de l'enseignement au Maroc s'apprête à entrer dans une nouvelle phase de tension suite à l'annonce d'un mouvement de protestation… |
Nador : mise en échec d’une tentative de trafic de 116.605 comprimés psychotropesLes éléments de la sûreté nationale et des douanes au centre de Béni Ansar à Nador ont réussi, mercredi, à mettre en échec une tentative de … |
Service militaire 2024 : plus que quelques jours pour s’inscrireDans le cadre de l’opération de recensement relative au service militaire au titre de l’année 2024, le ministre de l’Intérieur rappelle que … |
Puisse Qui De Droit (L’ONSSA … pour ne pas le citer) nous confirmer que ces recommandations sont suffisantes pour préserver la santé des consommateurs. Personnellement, j’ai peur. Wa’llahi !