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L’Espagne a dénoncé, jeudi 30 juin, le blocage des opérations commerciales avec l’Algérie, accusant Alger d’être à l’origine de cette situation et de violer l’accord d’association avec l’Union européenne (UE).
«Malgré les déclarations algériennes prétendant qu’il s’agissait de fantasmes mal intentionnés de la part de l’Espagne, il y a bien un blocage des opérations commerciales», a souligné le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares.
La Commission européenne demande des explications à l’Algérie chaque fois qu’une opération commerciale est bloquée, a-t-il relevé. Et de préciser que les relations commerciales entre les États membres de l’UE et un pays tiers sont une compétence de la Commission européenne, qui suit de près l’évolution de la situation.
Pour sa part, la secrétaire d’État espagnole au Commerce, Xiana Méndez, a dénoncé devant le Congrès des députés «un blocage pratiquement total» des opérations commerciales de la part de l’Algérie, tant au niveau des importations que des exportations, à l’exception des produits énergétiques.
«Nous assistons, de facto, à un blocage des flux commerciaux dans les deux sens, ce qui, selon nous, constituerait une violation de l’accord d’association avec l’Union européenne», a affirmé la responsable devant la Commission de l’industrie, du commerce et du tourisme du Congrès.
Par ailleurs, l’UE, par les voix de son haut représentant à la politique étrangère et à la sécurité, Josep Borrell, et du vice-président exécutif de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, avait exprimé sa «préoccupation extrême» de la décision prise par l’Algérie de suspendre le traité d’amitié et de bon voisinage signé avec l’Espagne en 2002.
Pour les deux hauts responsables européens, l’acte unilatéral algérien constitue «une violation de l’accord d’association UE-Algérie». De plus, ils ont noté que l’UE va «s’opposer à tout type de mesures coercitives appliquées à l’encontre d’un État membre de l’UE».
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