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C’est l’une des principales propositions de laCGEM pour la relance de l’économie qui vient d’être validée par le Chef de gouvernement. L’opérationnalisation de la préférence des produits marocains dans la commande publique et les achats des communes figurait parmi les mesures phares défendues par le patronat. Il milite aussi pour des droits de douane/TVA différenciéspour favoriser la production locale. Dans une circulaire adressée aux ministres, le Chef du gouvernementappelle à activer la préférence nationale dans le cadre de la commande publique.
Le document stipule que la priorité doit être accordée aux entreprises nationales, coopératives, union des coopératives et autoentrepreneurs dans le cadre des appels d’offres de l’administration, les collectivités territoriales ainsi que les entreprises publiques. Les porteurs de projets devront donc appliquer un taux de dépassement prédéfini en fonction du montant des offres financières présentées par les entreprises étrangères. Ainsi, pour une offre financière ne dépassant pas 100 millions de DH, le taux est fixé à 15% et le porteur de projet devra prioriser l’entreprise marocaine même si elle est plus chère de 15%. Lorsque l’offrese situe au-dessus de ce seuil, il s’applique une majoration de 15% sur les 100 millions de DH et 7,5% sur le reliquat, rapporte Ecoactu.
La commande publique représente un gisement d’opportunités pour des milliers d’entreprises. Certaines ne vivent que de cela, d’où le tollé soulevé par la tentative du gouvernement de réduire les investissements pour faire face aux dépenses exceptionnelles liées à la crise sanitaire au début de la pandémie. Il a finalement fait marche arrière. Toute politique d’austérité accentuerait les effets de la crise, disent de nombreux experts. À fin août, les investissements du budget général affichaient une baisse de 4,7%. Par contre, les dépenses de biens et services ont augmenté de 8,3%.
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