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Parmi les secteurs les plus durement touchés par la crise sanitaire, il y a l’immobilier. Toute la chaîne de valeur s’est brutalement arrêtée comme dans de nombreuses autres activités. Depuis la fin du confinement, les transactions sont toutefois reparties à la hausse, relève L’Économiste.
Le coup de pouce du PLFR
Le Projet deloi de finances rectificative (PLFR) prévoit des mesures pour soutenir la reprise. Le texte prévoit une baisse de 50% des droits d’enregistrement. Cette mesure défendue par la CGEM concerne les biens immeubles construits et terrains, quel que soit leur usage, pour la fraction duprix limitée à 2,5 millions de DH. Les logements sociaux, eux, c’est-à-dire les biens de 140000 DH et 250000 DH, seront totalement exonérés des droits d’enregistrement qui représentent 3% du prix du bien. Ces incitations seront effectives dès la publication de la loi de finances rectificative au Bulletin officiel et jusqu’au 31 décembre 2020.
La baisse des taux d’intérêt
À ces économies pourraient s’ajouter d’autres plus consistantes et qui concernent le taux d’intérêt. Les emprunteurs espèrent que les dernières baisses du taux directeur seront répercutées sur les taux des crédits à la consommation et des crédits immobiliers. Après la baisse de 0,50 point du taux directeur en juin, la Banque centrale a indiqué qu’elle veillera, plus que par le passé, à la transmission de ses décisions à l’économie réelle et qu’elle fera le point régulièrement sur ce sujet avec le plus haut management du système bancaire. Cependant, les impayés des ménages sont en hausse de 10% depuis le début de l’année à fin mai. Cette hausse du coût du risque pourrait limiter une éventuelle détente des taux.
La troisième piste d’économie pour les acquéreurs se rapporte aux prix des logements. La relance du secteur pourrait passer par des ristournes sur les prix pour accélérer aussi le déstockage et le renflouement des caisses.
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