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Pour sa première intervention au parlement après l’ouverture de la session printanière, le 10 avril 2020, le chef du gouvernement, Saad Dine El Otmani, a accusé quelques critiques de la part de certains députés parlementaires. Selon l’Économiste de ce mercredi, Omar Abbassi, député Istiqlalien, et Taoufik Kamil, chef du groupe parlementaire RNI-UC, ont déploré le manque de communication du gouvernement sur certains dossiers, notamment celui de la situation des Marocains bloqués à l’étranger. Ces députés appellent le ministère des Affaires étrangères à trouver rapidement une solution à ce problème, à l’instar de ce qu’ont fait plusieurs pays pour leurs citoyens qui se sont retrouvés dans la même situation.
Ces derniers ont insisté sur l’importance de renforcer la communication au sein du gouvernement, particulièrement en ce qui concerne l’utilisation des ressources du Fonds spécial Covid-19. Selon la même source, Taoufik Kamil a également critiqué le retard du déploiement du registre social unifié. Le texte qui est entre les mains des conseillers ne devrait sortir qu’après les élections législatives de 2021, selon les prévisions initiales du ministère de l’Intérieur, afin «d’éviter toute exploitation politicienne du dossier».Cependant, la crise actuelle pourrait accélérer son adoption.
Taoufik Kamil a également estimé que «les citoyens font les frais de la mauvaise gestion du secteur de la Santé, notamment en termes de dysfonctionnements ayant marqué la répartition des ressources humaines ou l’acquisition des équipements médicaux». Aujourd’hui, la plupart des groupes parlementaires insistent sur la nécessité de se concerter avec le Parlement sur les questions stratégiques. Pour ces derniers, les scénarios de relance de l’économie nationale doivent être clairs afin de s’en sortir avec le minimum de dégâts, surtout en ce qui concerne les secteurs les plus touchés par la crise.
Certains députés soulignent que l’élaboration d’un plan de relance économique s’impose, rapporte Les Inspirations éco dans son édition du mercredi 15 avril 2020. Par ailleurs, les députés ont été unanimes sur la nécessité d’ériger en priorité trois secteurs stratégiques dans le cadre des réformes des politiques publiques: la santé, l’enseignement et l’emploi.
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