Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Les pays membres de l’OPEP+, tout du moins les plus grands producteurs, seraient parvenus à un accord pour réduire la production journalière. Il y a quelques semaines, les cours avaient plongé sur fond de désaccord entre l’Arabie Saoudite et la Russie. Cette fois-ci, les deux pays semblent sur la même longueur d’onde. Il reste tout de même à convaincre des indécis, en particulier le Mexique qui n’est pas prêt à baisser sa production dans les proportions qui lui sont demandées. Il serait d’accord pour diminuer sa production de 100000 barils par jour alors que l’OPEP lui en demande quatre fois plus.
Réduire la production pour soutenir les cours
L’objectif des pays membres de l’OPEP est de réduire de l’ordre de 10 millions de barils la production journalière. Ensuite, il faudra convaincre d’autres États non membres de l’organisation comme les États-Unis de baisser leur pompage. Ces initiatives visent à enrayer l’effondrement des cours. Le Brent se négocie actuellement à un peu plus de 30 dollars.
En dehors de la mésentente entre la Russie et l’Arabie Saoudite, les mesures d’urgence prises un peu partout dans le monde pour contenir la propagation du coronavirus (fermeture des frontières, confinement) ont fortement impacté la demande. Comme l’offre est abondante, mécaniquement les cours chutent.
Pour beaucoup d’observateurs, la fin du pétrole à bas prix n’est pas pour tout de suite. Ce qui est relativement une bonne nouvelle pour les pays importateurs comme le Maroc. Mais, les effets bénéfiques sont limités puisque le comportement des prix est le reflet d’une économie mondiale malade. Malgré les initiatives pour diminuer la production, la baisse de la demande est telle, que les efforts des pays de l’OPEP pour redresser les prix seraient vains. Pour les analystes de Goldman Sachs, les réductions envisagées, si elles finissent par s’appliquer, «seraient encore trop faibles et trop tardives pour empêcher une baisse des cours dans les prochaines semaines alors que les capacités de stockage vont arriver à saturation».
Temps de lecture : 2 minutes
Autoentrepreneur : petit… restera petit!Arrivé en 2015, au Maroc, le statut autoentrepreneur avait de quoi faire rêver. D’une part, les personnes au chômage, pourraient remédier à … |
Textile : très fort recul des exportations vers l’UE2023 n’a pas été de tout repos pour le secteur de l’habillement marocain. Les exportations vers l’Union européenne (UE) ont nettement baissé… |
Marché immobilier : les prix orientés à la hausseD'après le récent rapport de la Bank Al-Maghrib (BAM) et de l’Agence nationale de la conservation foncière, du cadastre et de la cartographi… |
« L’Offre Maroc » : accélération vers l’hydrogène vert en 2024Dans une récente annonce officielle, le Maroc a dévoilé son ambitieuse stratégie pour le développement de l'hydrogène vert, baptisée «L'Offr… |
Fraises : aucun ralentissement des exportations n’est à prévoirEn jus, en dessert ou encore en tarte, la fraise sera de toutes les tables pendant le mois sacré de Ramadan… Au Maroc en tout cas. En Europe… |
HCP : perspectives actuelles et futures pour l’industrie et la constructionSelon les évaluations des dirigeants d'entreprise pour le dernier trimestre de 2023, l'industrie manufacturière a enregistré une croissance.… |
CapAccess, un produit pour réinventer le financement des PMELors d'une cérémonie officielle tenue hier à Casablanca, le Fonds Mohammed VI pour l’investissement (FM6I) a inauguré le programme CapAccess… |
CFG Bank : la digitalisation tous azimuts (ITW)LeBrief : Quel est l’apport de la transformation digitale pour le secteur bancaire ? Salim Rais : Depuis quelques années, le secteur bancair… |