Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Le Maroc a été une nouvelle fois maintenu dans la liste grise des paradis fiscaux de l’Union européenne. C’est en tout cas ce qui a été décidé ce mardi lors de la réunion du Conseil des Affaires économiques et financières (ECOFIN) à Bruxelles. Pourtant, le royaume a adopté d’importantes réformes pour une mise en conformité avec les nouvelles normes fiscales. D’aprèsle360, l’Union européenne a expliqué que le Maroc s’était engagé à modifier ou à abolir ses régimes fiscaux préjudiciables d’ici la fin de l’année 2019, mais que le royaume n’a pas été en mesure de le faire, en raison d’un processus retardé au sein du Forum de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur les pratiques fiscales dommageables.
En effet, le processus du régime fiscal de Casablanca Finance City (CFC) dépend toujours de l’OCDE. Avec la confirmation attendue de l’organisation et le transfert du processus du régime fiscal versl’Union européenne, le Maroc aura rempli l’ensemble de ses engagements. Il viseainsià ajuster son système fiscal conformément aux nouvelles normes européennes, et ce en préservant ses intérêts nationaux, soulignele site Ecoactu.
Dans ces circonstances, l’Union européenne a octroyé un nouveau délai au Maroc afin delui permettre de se mettre en conformité. Le royaumea donc jusqu’àfin 2020 pour adapter salégislation. Selon plusieurs sources médiatiques, le payssortira sans doute de la liste grise avant la fin de l’échéance.
Rappelons queles îles Caïmansont rejoint la liste noire des paradis fiscaux.Les pays qui sont dans cette blacklist de l’UE sont : le Belize (Amérique centrale), Fidji (Océanie), Guam (Océanie, territoire des États-Unis), Îles Vierges (Caraïbes, territoire des États-Unis), Oman (péninsule arabique), Samoa (Océanie), Samoa américaines (Océanie, territoire des États-Unis), Trinité-et-Tobago (Caraïbes) et Vanuatu (Océanie).
Temps de lecture : 2 minutes
SIAM : le Maroc mise sur l’intelligence artificielle pour améliorer la rentabilité de l’agricultureSelon l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), 30 à 35% de la croissance agricole des pays en voie de dé… |
2015-2024 : l’économie poursuit sa croissance malgré des conditions difficilesL'économie marocaine a fait preuve d’une belle résilience, qui continue de croître. Le pays, a ainsi su surmonter un certain nombre de défis… |
SIAM 2024 : pour faire face au changement climatique, le Maroc pourra compter sur l’aide européenneL’ambassadrice de l’Union européenne (UE) au Maroc, Patricia Llombart Cussac, a souligné l’importance de la relation entre le Maroc et l’UE … |
Comment le Maroc déstabilise la tomate espagnoleElle nous ferait monter le rouge aux joues. La tomate marocaine, star de toutes nos salades, séduit même en Union européenne. Et c’est en Es… |
Sécheresse et croissance : Nadia Fettah fait le point sur l’économie du RoyaumeSelon Nadia Fattah Alaoui, ministre de l’Économie et des Finances, le pays devrait connaître cette année une croissance économique de 3,4%, … |
Inflation : analyse de l’évolution de l’IPCL'IPC a enregistré une augmentation de 0,7% en mars 2024 par rapport au mois précédent, impulsée par une hausse de 1,7% dans les produits al… |
Echanges commerciaux : quelles sont les dépenses de l’Espagne au Maroc ?Qu’importe l’Espagne du Maroc exactement ? Cette question a été posée par la presse espagnole dernièrement et qui a trouvé réponse dans une … |
Al Omrane Expo 2024 : une plateforme pour faciliter l’accès au logementLe président du Directoire du Groupe Al Omrane, Housni El Ghazoui, a annoncé la mise en place d’une nouvelle plateforme d’aide à l’acquisiti… |