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Des élus parlementaires menacés d’expulsion au nord

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Plusieurs maires et élus parlementaires représentant différents partis politiques (PJD, PAM, USFP, PPS) seraient menacés d’expulsion. Ces derniers comme le rapporte certaines sources médiatiques auraient commis des abus de pouvoir et feraient l’objet de nombreuses plaintes portant sur de graves accusations de détournement des deniers publics. Le tribunal administratif de Rabat devrait prononcer des verdicts à ce sujet dans les prochains jours.

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Séisme dans la région du Nord. Des élus parlementaires du parti Authenticité et Modernité (PAM), de l’Union Socialiste des Forces Populaires (USFP), du Parti de la Justice et du développement (PJD) et du parti du progrès et du socialisme (PPS) pourraient quitter leurs postes au sein de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima. C’est en tout cas ce que nous révèle le quotidien arabophone Al Akhbar ce mardi 28 janvier 2020. Le journal affirme qu’une décision du tribunal administratif de Rabat devrait tomber dans les prochains jours à l’encontre des élus parlementaires soupçonnés de détournement des deniers publics.

Al Akhbar, qui a révélé l’identité de ces parlementaires, souligne que parmi eux figurent le président du conseil municipal de Tétouan Mohamed Idaamar (PJD), le président de la commune d’Azla, Larbi Ahnine (PPS), le président du conseil municipal de Fnideq, Mohamed Karrouk (PJD), le président de la commune rurale de Dar Ben Karrich, Abderrahmane Hajiouj (PAM), le président de la commune de Zaouiat Sidi Kacem, Brahim Bensabih (PPS) et enfin le président de la commune de Bni Said Mustapha Derboune (USFP).

La même source affirme que l’avenir du président du conseil municipal de Tétouan, Mohamed Idaamar est lié au verdict de la cour d’appel de Tétouan qui devrait avoir prochainement sur un dossier pointant sa mauvaise gestion. Même constat pour le président de la commune de Oued Laou, accusé d’avoir ignoré des décisions de justice et des avertissements du ministère de la tutelle.

Selon le site le360, «ces accusés sont dans de très sales draps, et mêmesi la justice les blanchit, ces élus ne survivront pas aux prochaines sessions de février de leurs conseils communaux», puisque la «majorité écrasante de conseillers compte les acculer à la démission et à leur remplacement, séance tenante, à travers l’élection de nouveaux présidents».

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