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C’est dans un communiqué du cabinet royal que la nouvelle a été diffusée le mardi 7 janvier en soirée. Le Roi Mohammed VI a donné ses instructions pour la mise en œuvre du programme prioritaire d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation.
Abdelkader Amara, ministre de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture, des eaux et forêts, et Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, ont chacun présenté un exposé devant le roi, ce mardi au palais royal de Marrakech. Ces derniers ont expliqué les grandes lignes de ce programme, dont le coût global est estimé à 115 milliards de dirhams.
Ce programme qui couvrira la période 2020-2027 vise à améliorer l’offre hydrique notamment par la construction debarrages, le renforcement de l’approvisionnement en eau potable dans le milieu rural, et la réutilisation des eaux usées traitées dans l’irrigation des espaces verts. Le programme prévoit également une sensibilisation liée à l’importance et la préservation de l’eau. Des campagnes de communication seront élaborées et diffusées dans les médias et les espaces publics.
Le Maroc souffre d’un stress hydrique aigu
Publié en août 2019, un rapport du World Resources Institute (WRI) relayé par le magazine Telquel a étudié la situation des eaux de 165 pays. Ce rapport place le Maroc à la 23e position des États les plus menacés par les pénuries d’eau au monde. La région de Chaouia – Ouardigha arrive en première position des régions les plus menacées. Avec un indice de 0,92 sur 1, la moyenne de cette région équivaut à cellede laLibye (6e pays le plus menacé par les pénuries d’eau au monde).
Selon l’Économiste, qui relaye une étude de la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), le Maroc est déjà considéré parmi les pays souffrant de stress hydrique avec seulement 500 mètres cubes d’eau par habitant et par an, contre 2 500 mètres cubes en 1960. Les prévisions du WRI affirment que plusieurs régions du monde subirontun stress hydrique à l’horizon 2040. Aujourd’hui, 40% de la population mondiale est touché par ce phénomène.
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